Des chevaux de qualité supérieure ont été élevés dans la vallée de Clyde en Écosse pendant plus de trois cents ans. Ils ont formé le noyau de toute la race qui a pris son nom du district dans lequel il a évolué - le Clydesdale!
Les enregistrements de la race commencent vers 1750 lorsque John Paterson, dans le compté de Lanarkshire, importe un étalon flamand noir d’Angleterre. Lorsqu’il fût accouplé aux juments indigènes de Lanarkshire, les descendants étaient de grands chevaux. La plupart étaient de couleur brune ou noire avec des marques blanches sur le visage et les jambes.
La Société des Clydesdale de la Grande-Bretagne et de l’Irlande a été fondée en 1877 et le premier volume du Clydesdale Stud Book a été publié l’année suivante. Cela a stimulé l’exportation de Clydesdales vers l’Australie, le Canada, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et les États-Unis, un commerce qui demeure actif à ce jour.
Le premier Clydesdale à entrer au Canada fut l’étalon nommé Cumberland. Il arriva en Ontario en 1840. Le Clydesdale a été la première race de chevaux de trait que l’on trouve dans la plupart des provinces canadiennes. Il y avait des clydesdales au Manitoba dès 1881. Les étalons arrivèrent dans les vallée de l’Ouest dès 1883, tandis qu’un étalon fut importé en Colombie-Britannique en 1887 par la Douglas Lake Cattle Co.
Le cheval clydesdale jouit depuis longtemps d’une suprématie incontestée parmi les races de chevaux de trait au Canada. Cela reste aussi vrai aujourd’hui qu’en 1905, car les Clydesdales d’origine québécoise et canadienne continuent de jouir d’une renommée internationale en recevant de nombreux honneurs lors de ventes et de spectacles partout en Amérique du Nord et sont très en demande ici et à l’étranger.
Les chevaux de plus grande taille et plus costaud peuvent être trouvés dans d’autres races, mais le Clydesdale est inégalée pour la qualité. Indicatif de cette qualité est le poil abondant et soyeux qui recouvre les pieds et les membres. Cheval de style, le Clydesdale connait un succès inégalé dans les arènes d’exposition.
Le Clydesdale est supérieur par son action et la qualité de ses pieds et membres, qui doivent être placés correctement sous l’animal. Les pattes avant doivent être bien placées sous les épaules, pas à l’extérieur, et les pattes arrière doivent être proches et serrées des jarrets jusqu’aux boulets.
L’ensemble des membres postérieurs est très important; ils ne doivent être ni trop droits ni trop courbés. Des jarrets qui sont plats, propres et forts et les genoux qui sont larges et fort, caractérisent le Clydesdale. Leurs paturons sont longs et devraient pente de la couronne du sabot au boulet sur un angle d’environ 45 degrés. Les pieds sont gros du sol jusqu’à la couronne . La tête et le cou doivent être de taille moyenne avec un front large. Le cheval idéal doit avoir un grand cou avec une bonne angle d’épaule lui permettant d’exprimé son port de tête.
Une action correcte à la marche et au trot est exigée, une superbe action est bonifiée. La foulée qui caractérise de bons spécimens de la race est longue et droite, tandis que la flexion des articulations est prononcée. Les pieds doivent être soulevés complètement du sol, de sorte que le bas de chaque pied ou de chaque fer est clairement visible par derrière à chaque foulée. L’action idéales des membres antérieur fera en sorte de le dessous du pied sera projeté sous la cage thoracique, au niveau de l’épaule. Il est important que le Clydesdale présente un beau port de tête et trotte avec les jarrets proches les uns des autres.
La qualité des pieds et des membres, l’action fringante et la beauté saisissante du Clydesdale continue de susciter l’admiration des vrais connaisseurs de chevaux.
